« Trop de gens pensent que la pâtisserie est compliquée. À la base je ne suis pas pâtissière et j'ai envie de partager cette expérience. J’ai appris à m’organiser, à être plus fluide dans mes préparations et à moins stresser. Je peux converser tout en cuisinant, ce que je n’arrivais pas à faire avant. » Sans doute une accoutumance aux plateaux faits de techniciens, de bruit et d’une équipe de tournage, l’ont aidé à mieux appréhender cette dimension.
Au long de cette aventure, par le biais de candidats, Justine a découvert des goûts comme avec Cléo et ses associations improbables ou encore une approche différente avec Manon, diététicienne, qui va vers des utilisations plus vertueuses des ingrédients, moins de gras, de lactose, de sucre… « Tu peux faire des gâteaux sains sans que cela soit fade. Ça peut amener plus de monde à manger des gâteaux du fait de diabète ou autre. Ça fait écho dans mon métier de pharmacienne. Chloé c'était sur les saveurs comme chocolat-olive, au premier abord c'est pas très engageant. Mais, si tu doses bien : c'est possible ! Ça m'a permis de découvrir des saveurs et d’autres façons de faire de la pâtisserie. »
Une des découvertes de Justine a été la crème Namelaka, une crème très onctueuse, que Cyril Lignac avait adoré ! Question saveur, c’est le café. Étonnement, hormis pour imbiber des biscuits, Justine ne l’utilisait pas dans des entremets. « Je l’ai intégré à un entremets dulcey-café et le chef Thierry Marx avait adoré ! »