Fil d'ariane

Je retrouve Arnaud au siège du groupe Awelty, à deux pas de la Tour Perret et à quelques centaines de mètres de son tout premier bureau, lorsqu’il a démarré l’aventure il y a 20 ans. Awelty occupe deux niveaux de l’ancien Grand Hôtel d’Amiens.

Nos interviewés partagent dans la rubrique " Les goûts et les couleurs" leurs recommandations culturelles, culinaires, touristiques et plus encore. Arnaud Jibaut, entrepreneur amiénois et 6ème fil d'ariane de dicilà, nous livre ses goûts et couleurs.

Ferrue de lecture, Charifas Lemesle nous raconte, comment plus jeune, elle s'en est abîmée la vue. Elle se livre sur les ouvrages qui l'ont marquée.

Charifas Lemesle se livre dans un podcast sur son arrivée en France en 1977 en tant que réfugiée politique. Du Cambodge à la Bourgogne, récit d'un parcours de vie atypique.

Nos interviewés partagent dans la rubrique " Les goûts et les couleurs" leurs recommandations culturelles, culinaires, touristiques et plus encore. Charifas Lemesle nous confie ces éléments qui constituent des petits plaisirs de la vie.

Le fil d’ariane va prendre un nouveau chemin avec Charifas Lemesle. Une rencontre qui m’a été recommandée par plusieurs amis. Le challenge était là, partir d’une inconnue pour tisser de nouveaux liens !

Le 13 juin dernier, à l'occasion du match de Ligue des Nations France-Croatie (0-1). L'équipe de Dicilà a suivi les Daltons, groupe de supporters mené par Hervé Mouquet, au stade de France pour ce match de football. Retour en image sur une soirée particulière. 

Si Hervé Mouquet est un professionnel accompli en gestion de patrimoine avec une équipe d’une trentaine de collaborateurs sur 4 départements, son équilibre de vie ne va pas sans sa passion pour le sport, et en particulier le football.

Laurent Ponthieux, nous reçoit chez lui au nord d’Amiens. Nous sommes accueillis par un beau molosse à la robe claire, à l’aboiement dissuasif mais finalement, après présentation par son maître, au caractère tendre. Son épouse est là, discrète, à travailler sur la table de la salle à manger, mais une oreille attentive à notre conversation.

Fabien Ruin, coiffeur et entrepreneur amiénois, évoque l'importance considérable de Delphine, son épouse, dans sa vie professionnelle.

Fabien Ruin est un boulimique de travail. Enfance très modeste, le coiffeur et entrepreneur s'est fait une promesse et travaille très dur pour la tenir.

Fabien Ruin, coiffeur et entrepreneur amiénois a été élevé en grande partie par ses grands-parents et en particulier son grand-père dont il était très proche. Il raconte à Dicilà un souvenir marquant de l'enfance.

La coiffure a été comme une évidence. Attaché aux valeurs humaines mais surtout paternelles par transfert, Fabien se donne à son métier pleinement, parfois trop sans doute.

Nos interviewés partagent dans la rubrique "Les goûts et les couleurs" leurs recommandations culturelles, culinaires, touristiques et plus encore. Fabien Ruin, coiffeur, nous confie ces éléments qui le caractérisent.

Gilles Touati, chirurgien cardiaque amiénois revient pour Dicilà sur son dernier projet de coussin anti-escarres. De l'origine de son projet à son avancé, il se livre au micro de notre journaliste Léandre Leber. 

Gilles Touati est un jeune chirurgien cardiaque lorsque son chemin croise celui d’un patient un peu particulier. Il nous raconte pour Dicilà cette histoire qui a profondément marqué le reste de sa vie et qui est à l'origine de son livre : La vallée des térébinthes. 
 

Nos interviewés partagent dans la rubrique " Les goûts et les couleurs " leurs recommandations culturelles, culinaires, touristiques et plus encore. Gilles Touati, chirurgien cardiaque, nous confie ces éléments qui le caractérisent.
 

Gilles Touati raconte à Dicilà comment sa vocation de chirurgien cardiaque est née lorsqu'il était enfant.

Gilles nous accueille chez lui. Une maison moderne, lumineuse, où la première impression est un calme coloré. Les murs sont blancs, mais les toiles y dessinent les couleurs du séjour, l’humeur du salon: des peintres, sculpteurs, designers contemporains et pour la plupart des «locaux». J’en reconnais bon nombre que j’ai pu rencontrer dans leurs ateliers.